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expressions vivantes
CLAIRE ELZIERE

photo: Gauthier Fleuri PRESENTATION: DOSSIER DE PRESSE: DISCOGRAPHIE AGENDA: SITE:



PRESENTATION
 CLAIRE ELZIERE

Les débuts d’une vie…

CLAIRE ELZIERE est née le 24 août 1971 à Paris. 
Après plusieurs années de pratique d’instruments (flûte à bec, piano), 
des participations répétées au sien de différentes chorales, CLAIRE se 
lance dans la chanson.
En 1997, CLAIRE  découvre PIERRE LOUKI  au cours d’un spectacle des 
Ateliers Chanson de Paris (dirigé par CHRISTIAN DENTE ).
La même année, elle croise la route de GREGORY VEUX, pianiste brillant et
 curieux (devenu depuis auteur, compositeur et interprète de son côté).
En 1999, le duo se produit toutes les nuits au festival off de Montauban.
 ALAIN POULANGES  (journaliste, écrivain) et JO MASURE 
 (directeur du festival Alors…Chante ! ) proposent à CLAIRE de participer
 à la soirée de clôture dédiée à JULIETTE GRECO.

«  CLAIRE a chanté  ‘A la belle étoile’ (PREVERT/KOSMA). Nous avions 24h pour
 l’apprendre et la répéter à partir d’un enregistrement sur dictaphone fait 
par téléphone ! En sortant de scène, JULIETTE GRECO a pointé son doigt sur 
CLAIRE : C’est très beau. C’est COMME-ÇA qu’il faut chanter ! Sous le coup
 de l’émotion, CLAIRE s’est effondrée, j’étais euphorique !» (GREGORY VEUX)

Le spectacle tourne. CLAIRE fait de nombreuses premières parties (ALAIN SOUCHON,
 NILDA FERNANDEZ , ALLAIN LEPREST , GRAEME ALLWRIGHT , FRANCOIS BERANGER,…) et retient
 toutes les attentions… dont celle de PIERRE BAROUH.

Dans le domaine de l'expression populaire, il est en France une tradition et une
 qualité d'écriture exceptionnelle : sans jouer les historiens, depuis plus 
de mille ans, bien avant FRANCOIS VILLON, des poètes populaires font la peinture 
du tissu social. Dans ce domaine, les passeurs ont un rôle prépondérant. Les passeurs ?... 
Je veux dire les interprètes : qu'en serait-il aujourd'hui du rayonnement de Mac Orlan,
sans MONIQUE MORELLI, de FRANCIS LEMARQUE ou de JACQUES PREVERT sans l'attention que 
leur a prêtée YVES MONTAND, du terrain offert par Patachou et CATHERINE SAUVAGE à 
GEORGES BRASSENS, JEAN-ROGER CAUSSIMON et LEO FERRE. D'autres poètes populaires existent, 
certains ont disparu, d'autres n'ont pas la vocation de faire voyager leurs œuvres.
 D'où l'importance et la nécessité d'une jeune femme, CLAIRE ELZIERE qui, guidée par 
le goût du partage, offre un aperçu de la palette émotive d'un auteur exceptionnel, 
PIERRE LOUKI  que GEORGES BRASSENS estimait parmi les meilleurs de sa génération si 
riche. C'est un premier album "vivant" de PIERRE LOUKI  dont le talent, la passion 
et la curiosité annoncent d'autres découvertes de poètes populaires à découvrir
 ou... À redécouvrir.…   PIERRE BAROUH.



 
DOSSIER DE PRESSE
 CLAIRE ELZIERE

Claire Elzière
Un original, 13 originaux
sortie nationale le 11.05.09	(Saravah Editions/Socadisc)

« A t’entendre, je rajeunis... » Ces mots de Pierre Louki à elle jadis adressés, Claire Elzière 
les a repris à la lettre.  Et  à  la  note.  Six  ans  après  un  premier  album  consacré  aux  
chansons  du  poète  aujourd’hui disparu, la voilà qui récidive. Avec le même amour, le même 
respect, mais dans un tout autre registre. Sous le titre « Un original, 13 originaux » 
(Louki, grand amateur de jeux de langue, aurait évidemment apprécié),   c’est   en   effet   
une   étonnante   moisson   de   textes   inédits   que   la   chanteuse   propose aujourd’hui. 
 Rien  que  des  bijoux  originaux,  posés  sur  l’écrin  des  musiques  ciselées  sur  mesure  
par Grégory Veux, Dominique Cravic et Colette Mansard.

Doit-on  présenter  à  nouveau  Pierre  Louki ?  Pas  si  simple…	Ce  cycliste,  coureur  
à  pied,  horloger, comédien, dramaturge, chanteur, conteur et écrivain, ami de Georges Brassens 
et de Roger Blin, est l’auteur de plus de 250 chansons enregistrées, de 25 pièces de théâtre et 
d’une dizaine de livres pour enfants. C’est ce remuant personnage, à la fois lunatique et tendre,
 féroce et fantaisiste, romantique et insolent, qui aime les arbres et les ânes et déteste les 
cons, que Claire Elzière rencontre, un beau soir de 1995.

A  l’époque,  Claire  participe  à  un  spectacle  autour  de  l’œuvre  de  Louki.  L’auteur  en  
personne  vient assister  au  spectacle,  une  amitié  se  noue  entre  le  maître  et  
l’interprète.  Elle  qui  a  grandi  au  son  des chansons  de  Mama  Béa  ou  Véronique  Sanson,
  a  interprété  Marie-Paule  Belle  ou  Linda  Lemay,  s’est produite  en  première  partie  
d’Allain  Leprest,  François  Béranger  ou  Alain  Souchon,  s’entiche  de l’hurluberlu  prince  
sans  rire  et  de  son  œuvre  drôlatique  et  acérée.  Grâce  à  l’enthousiasme  de  Pierre 
Barouh,  légendaire  fondateur  du  label  Saravah,  un  premier  album  voit  le  jour  au 
 printemps  2003, enregistré en public à Nantes. Avec, déjà, la complicité de Grégory Veux et 
Dominique Cravic.

De l’orchestre de ce dernier, les bigarrés et globe-trotters Primitifs du Futur, Claire deviendra
 ensuite la chanteuse  attitrée,  avant  de  poser  aussi  sa  voix  sur  deux  titres  du  
dernier  album  de  Louki,  « Salut  la compagnie ». Le soir du 21 décembre 2006, les Primitifs
 sont sur scène et guettent l’arrivée de Louki, qui
a  promis  d’interpréter  une  chanson  avec  eux.  Le  poète  ne  viendra  pas.  Ne  viendra  
plus.  Quelque temps avant sa disparition, il avait mis de côté, dans une pochette marquée du 
seul prénom de Claire, quelques textes de derrière les fagots, donc allumés : douze d’entre eux,
 plus un instrumental, sont au générique  de  ce  disque  peu  banal  aux  arrangements  
luxuriants,  entre  tango  fluide,  valse  tropicale, fanfare exotique ou mambo rigolo.	

Outre le piano et le Rhodes de Grégory Veux, la guitare, le banjo et l’ukulélé de Dominique 
Cravic, on y croise  le  saxophone  de  Bertrand  Auger,  le  bandonéon  de  Daniel  Colin,  
la  contrebasse  de    Jean- Philippe  Viret  ou  la  scie  musicale  de  Fay  Lovsky. 
 Instruments  vagabonds  au  service  de  ces  chansons cocasses ou coquines, ironiques ou 
affectueuses, qui parlent d’amour et de mort, d’humour et de vie :
la  complainte  de  la  clownesse  qui  fait  pleurer  son  mari  (« J’aurais  voulu »),  les  
mérites  érogènes
comparés  de  l’ascenseur  et  de  l’escalier  (« S’il  vous  plaît  d’être  courtisées »),  
la  flemme  vacancière d’un  soleil  cossard  (« Ce  soir  la  nuit  n’est  pas  venue »)  ou  
la  flamme  d’un  vieil  arbre  reverdissant
(« L’arbre  qu’on  croyait  mort ») ;  ailleurs,  des  rimes  sans  frime  (« Rimes »),  une 
 enfance  qui  coule  de source  (« C’était  un  ruisseau »),  l’idée  que  toutes  les  gouttes
  sont  dans  la  nature  (« Gouttes »),  une déclaration d’amour à l’ombre de Verlaine (« Ô mon
 ami ») ou une ode aux amis disparus (« Il en est quelques  uns »).  Sans  oublier  un  véritable  polar  en  forme  de  western  sonore  dit  par  Pierre  Barouh
(« L’Homme sans escorte »), et un instrumental sur lequel Louki n’a pas eu le temps de greffer 
ses mots.

Et, par-dessus tout, la voix de Claire Elzière, limpide et vibrante, fervente et élégante, qui
 sait se jouer des subtilités du texte tout en y apportant sa note personnelle, sa touche 
émouvante.

« A t’entendre, je rajeunis », disait Louki. Les vrais poètes sont éternels, leur jeunesse aussi.
Philippe Barbot.
 
Contact presse Marc Chonier marc.chonier@gmail.com
06 63 87 52 86


EXTRAITS DE PRESSE

On  est  loin  des  murmures  fluets  des  miss  en  vogue.  Le  ton  parfaitement  posé,  est  
sincère, entier, convaincant. (Ouest France, M.G.)

L’originalité absolue de Claire Elzière, c’est d’interpréter un auteur rare de subtilité, rare 
sur les ondes et pourtant riche de textes allant, avec le même bonheur, de l’humour grinçant 
au romantisme mélancolique. (Vendée Matin, H.R.)

Quand elle s’empare d’une chanson, on pourrait croire qu’elle vient de l’écrire. Et quand les 
chansons sont hors du temps, nous aussi. Après, on apprend que c’était tout de Pierre Louki
et on retombe… de joie !

Avec  chaleur  et  générosité,  Claire  Elzière  nous  offre  sur  un  plateau  la  fantaisie  
discrète  et pourtant  lumineuse  des  chansons  de  Pierre  Louki.  Une  heure  de  sourire  
et  de  bonheur. (Christian Paccoud)

Claire Elzière a un don pour se glisser dans les chansons des autres et leur apporter un souffle 
très personnel. (Aden, Le Monde)



DISCOGRAPHIE
 CLAIRE ELZIERE
Deux nouveaux disques viennent de sortir au Japon le 16 septembre 2009 produits par 
Kenichi Takahasi !

Claire Elzière "Chansons d'amour de Paris, second mouvement" 
et avec Daniel Colin "Accordéon au coin de la rue de Paris".
Avec : Dominique Cravic (guitares, banjo, ukulélé)  Daniel Colin (accordéon, bandonéon) 
 Grégory Veux (piano, fender Rhodes)  Jean-Philippe Viret (contrebasse) 
 Jean-Michel Davis (batterie, xylophone)  Bertrand Auger (saxophones, clarinettes) 
 Jean Corti (accordéon)  Fay Lovsky (voix, ukulélé)  Kazutoshi Negishi (sanshin) 
Yosuke Irie (shakuhachi)

La vie va si vite" CLAIRE ELZIERE chante PIERRE LOUKI 
Production : Saravah - Distribution : Night&Day - SHL2110


AGENDA 


	

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